La crise du logement … et si ?
Et si, nous n’arrivions pas à y répondre ? Et si cet échec nous engouffrait collectivement dans une situation de révolte inédite ?
Qu’advient-il dans une société où trouver un chez soi décent n’est plus garanti ?
Dans une société où la majorité des individus éprouvent de grandes difficultés à se loger, là où elle en a le besoin ?
Est-ce le futur inévitable d’un monde contraint ?
Or, tandis que la crise du logement s’aggrave, que des étudiants commencent l’année universitaire au camping, que des salariés prennent des postes en dormant dans leur voiture, que le parc social est saturé, que l’offre locative est en berne, et l’accession à la propriété verrouillée, le chemin qui mène à l’obtention d’une autorisation de bâtir se fait toujours plus difficile.
Au durcissement des conditions de financement, au gonflement des coûts des matières premières et de la construction, à l’inflation, s’ajoutent en effet des interdictions de construire massives et généralisées, à travers des réglementations d’urbanisme et des pratiques qui tendent, peu à peu, à mettre les territoires, notamment les plus recherchés, sous cloche.
Car construire moins est devenu le mot d’ordre consensuel de la préservation : tant écologique, que du paysage ou de la tranquillité des riverains, quitte à repousser les problèmes, et les habitants, plus loin.
Quel type de crise prépare un pays dans lequel le logement n’est plus considéré comme un bien de première nécessité ?
Pour répondre à ces questions, nous avons eu l'honneur de recevoir :
La crise du logement … et si ?
Et si, nous n’arrivions pas à y répondre ? Et si cet échec nous engouffrait collectivement dans une situation de révolte inédite ?
Qu’advient-il dans une société où trouver un chez soi décent n’est plus garanti ?
Dans une société où la majorité des individus éprouvent de grandes difficultés à se loger, là où elle en a le besoin ?
Est-ce le futur inévitable d’un monde contraint ?
Or, tandis que la crise du logement s’aggrave, que des étudiants commencent l’année universitaire au camping, que des salariés prennent des postes en dormant dans leur voiture, que le parc social est saturé, que l’offre locative est en berne, et l’accession à la propriété verrouillée, le chemin qui mène à l’obtention d’une autorisation de bâtir se fait toujours plus difficile.
Au durcissement des conditions de financement, au gonflement des coûts des matières premières et de la construction, à l’inflation, s’ajoutent en effet des interdictions de construire massives et généralisées, à travers des réglementations d’urbanisme et des pratiques qui tendent, peu à peu, à mettre les territoires, notamment les plus recherchés, sous cloche.
Car construire moins est devenu le mot d’ordre consensuel de la préservation : tant écologique, que du paysage ou de la tranquillité des riverains, quitte à repousser les problèmes, et les habitants, plus loin.
Quel type de crise prépare un pays dans lequel le logement n’est plus considéré comme un bien de première nécessité ?
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